Silence sublime
Qui déchire,
Avec cette triste agonie,
Avec cette charge de douleur,
Si grand,
Entre le souffle,
Et le souffle,
De la fin au début
De mon existance.
Et, entre des nuages blancs,
Des images de ma vie,
Une promenade dans mes souvenirs,
Pour mes actes accomplis,
Une promenade dans mes souvenirs,
Pour mes actes non réalisés.
Tout près de moi
Tout devant moi,
Dans un mirair.
En train de mourir
Participent de mes expériences,
Mes sens épuisés,
Sens limbiques.
J’observe
Mon monde intérieur,
Je ne reviens pas
À mon monde extérieur
Impossible!
Je ne peux pas!
Je marche vers mon être
Et mon corps
À l’expiration,
Il se fige avec un soupir
Ma nouvelle force,
Rechargé,
Vers une énergie plus élevée.
Tous mes mouvements,
À un autre extrême,
Dans mon monde intérieur.
Et là, à mon grand étonnement,
Má nouvelle vie jaillit,
Devant un chemin,
Pour lui je vole
Entre les plumes blanches
De velours.
Déjà, dans une autre dimension,
Je quitte ce monde,
Je continue mon vol.
Et au loin,
Quand je vais
Regrette! Regrette!
Pour un duel,
Mon prope deuil.
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